8 - PUNO et départ pour "Le" Lac Titicaca.

Où se trouve le Lac Titicaca ?


Lundi 29 mars

Voici Puno ( 3812 m d'altitude ) et le Lac Titicaca ( 6900km2 et 280m de profondeur ).

Changement de programme!

Do est malade . On reste sur PUNO au lieu d'aller passer la journée sur le lac pour dormir à AMANTANI comme prévu... On verra plus tard. En fait, nous sommes tous les trois "patraques" toute la journée.

Nous ne sommes pas bretons pour rien... Nous nous sentons bien au niveau de la mer, nous !

Cette petite pause nous permet de voir vraiment les gens vivre au quotidien, ce qui est également très agréable.

Comme toutes les villes du Pérou, Puno grouille de monde.

Les costumes traditionnels côtoient les jeans et tee shirts...

Les églises sont toujours belles.

La "plaza de Armas" est le centre de la ville et le lieu de rencontre de toute la population. Les Péruviens y passent souvent un peit moment avant de rentrer chez eux après le travail.

Tout le monde a du boulot. Ici, une balayeuse.

Là, des vendeuses ambulantes.

... des marchands de fruits, des vélos taxis.

Les écoliers sont tous en uniformes.

A un coin de rue, un prètre soigne et bénit les personnes qui lui demandent...

Nous aussi, profitons de la place "Mayor" pour se reposer de temps en temps car nous sommes très vite essouflés.

Programme de la journée: Réservation dès maintenant un hôtel à Cusco car nous arriverons en pleine Semaine Sainte, achat de bananes, lit, petite station sur la Place Mayor, lit, cartes postales, lit...                       Do restera 36h au lit et nous, un tour de cadran!

Mardi 30 mars

Ce matin, ça va mieux. On règle l'hôtel et on leur laisse nos bagages pour partir en "barco privado" faire le tour des îles UROS appellées aussi "îles flottantes".

J'espère que l'on ne va pas sur les îles en "canard flottant "!

Ouf ! Aparemment, il n'y a pas que des canards sur l'eau !

Bon, on prend nos billets au débarcadère avec un "captain" local...

Nous demandons un bateau avec "baños" puisque il y a le choix. Prudence oblige !

Je ne vous dis pas! Une cuvette dégueulasse posée dans un coin mal fermé du bateau et qui a servi toute la balade à evacuer l'eau qui remplit le bateau. Bien sûr, pas de pompe de cale ! C'est quoi, ça ???

Alors, pour le moteur, ce n'est guère plus rassurant §

En fait, je vais peut-être regretter les canards !

1/ On branche la batterie et on fait le contact avec une vieille clé et un vieux clou.

2/ Il faut aussi souffler dans le tuyau du jerrican d'essence pour la pousser vers le moteur.

3/ Enfin, il faut faire le contact en rapprochant 2 fils qui sortent de je ne sais où.

Au 3ieme essai, ca pétarade et ... Vamos !

Mais c'était très sympatique tout ça et le captain aussi. Nous communiquons facilement avec lui grâce à notre super-espagnol ! Bon, il faut dire aussi que Edouardo parle un peu le français...

La découverte des Iles Uros demande une page à elle toute seule, donc... à suivre...